Le weekend du 31 août 2019 fut l’occasion de fêter les 10 ans de la création des Vagabonds de l’énergie par Arnaud Crétot et Robin Deloof.
Un moment de partage, de fête, mais aussi d’échange et de réflexion !
Ce grand weekend fut l’occasion de :
– Faire le bilan des 10 premières années
– Faire un état des lieux des activités de l’association, tant du côté des voyages que du côté de la sensibilisation Lire la suite …
Les vagabonds mettent à disposition une plaquette qui présente le collectif, ses membres, et ses objectifs. Elle sera disponible sur nos stands et dans les lieux d’exposition.
A l’occasion de cette nouvelle décennie qui s’annonce, les vagabonds vous proposent cette frise chronologique interactive qui retrace leur histoire.
De leurs débuts en 2009, des premier reportages des vagabonds, jusqu’aux événements qui ont rythmé la vie du collectif, ainsi que les actions à venir !
Après 5 mois au Brésil, Lise est de retour en France et nous livre un premier bilan :
Voilà un résumé de ce que j’ai fait durant 5 mois pour mon projet Energia do Brasil. Plus de 5000 km parcouru en bus, des dizaines de rencontres brésiliennes (mais pas que), 3 heures d’interviews, [nombre incalculable] de rush vidéos du pays, 2 énormes barrages et 3 solutions à échelles locales.
Muito obrigada Brasil 🙏
C’est maintenant l’heure pour moi de passer au montage du reportage !🎬🎞🎥
Je reviendrai sur des événements du voyage dont je n’ai pas encore parlé. A bientôt !
Antoine démarrera son périple tout juste suite à la fête des 10 ans des Vagabonds ! Il vous résume son initiative ici :
Pour moi, le voyage nous confronte à la réalité des territoires traversés, et nous permet de mieux nous rendre compte des enjeux culturels et sociaux trop souvent effacés par les problématiques technologiques. En offrant une place à l’inconnu, le voyage facilite également la rencontre et l’ouverture d’esprit et permet ainsi de se poser d’autres questions que celles propres à notre réalité.
C’est pour cela que j’ai décidé de participer à l’aventure des « Vagabonds de l’Energie » en partant le 1er septembre prochain pour six mois autour de l’Europe suivis de cinq mois en Amérique Latine. Mon objectif, poursuivre une étude sur les technologies de l’énergie axée sur trois points : leurs potentiels, les possibilités d’intégration dans des projets citoyens, et les impacts des ressources utilisées sur l’environnement et les populations.
Nous suivrons de près Antoine dans son aventure ! Pour le rencontrer, rendez-vous donc le 31 août 🙂
Lise est au Brésil depuis le 15 février. Elle nous livre un aperçu de ses premières observations, dans sa phase de préparation.
Dans quelques temps, elle ira visiter plusieurs projets de barrages hydroélectriques !
L’ELECTRICTÉ EST VISIBLE
1-LES COUPURES💡
A peine arrivée à Saõ Paulo, mon auberge n’avait plus d’électricité sur la moitié du site. Plus de jus au Brésil = plus de lumière, d’eau chaude, de ventilation ou de clim, plus de frigo, de wifi.
2-LES CÂBLES ⚡
Ici les câbles se superposent (comme sur la photo lors d’un défilé du Carnaval de Rio ou dans une ville plus rurale) et s’entremêlent au dessus de nos têtes.
C’est pour ces deux principales raisons qu’au Brésil, on a conscience de la nécessité de cette énergie et des moyens à déployer pour pouvoir l’utiliser.
Japon – province de Fukushima, 30 septembre 2017 – voyage de Clément et François
Ce fut une folle journée, durant laquelle nous avons rencontré plusieurs habitants ruraux impliqués dans la gestion d’un parc de panneaux solaires, gérés par une coopérative d’agriculteurs. A quelques dizaines de kilomètres de la centrale de Fukushima, le frémissement de l’accident de 2011 est encore palpable.
11 Mars 2011 au Japon, à la suite d’un tsunami a eu lieu l’une des plus importantes catastrophes nucléaires, qui a généré un nombre important de rejets radioactifs.
Les terres des agriculteurs de la région de Date furent contaminées, et sont maintenant incultivables. Les agriculteurs se sont alors unis autour d’une idée : utiliser ces terres pour produire de l’électricité renouvelable, qui leur permettrait de participer à la sortie du Japon du nucléaire.
Le parc solaire a pu voir le jour grâce à une levée de fond citoyenne organisée dans tout le pays. Même si il reste encore trop anecdotiques, ce genre d’initiative témoigne d’un réveil citoyen au Japon sur la question environnementale suite à l’accident de Fukushima.
Amina Bouri s’est envolée le 8 décembre 2018 pour l’Amérique Latine, qu’elle arpentera deux mois durant lesquels elle ira à la découverte d’initiatives locales liées à la transition énergétique. Qui sait, peut-être un repérage fourni pour de plus profondes études ultérieures? Découvrez sa présentation